Le mobilier urbain anti-SDF
- StJust
- 21 déc. 2018
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 17 mars 2019
A Lyon, les dispositifs qui préviennent les squats ne manquent pas. On passe tous les jours devant sans y prêter attention, on les retrouve avec des sièges individuels place des Tapis à la Croix-Rousse, des bancs munis d’arceaux place Edgar-Quinet, des piques jalonnant les devantures de certaines banques…

Ces installations censées garantir la tranquillité des habitants rendent la vie des SDF encore plus difficile. Certains SDF comprennent les dispositifs anti SDF qui se multiplient mais désespèrent malgré tout, d’autres disent encore que ça va simplement déplacer le problème ailleurs.
Le mobilier urbain anti-SDF a pour principe de rendre inconfortable l’occupation prolongée d’un espace tel que la forte inclinaison d’un banc public ou l’individualisation des places sur un banc pour rendre impossible le fait de s’y allonger.

Bonjour Michiel et Toon,
Merci d'avoir pris le temps de lire notre article.
Nous avons lu votre commentaire et nous sommes ravies de voir que vous trouvez le sujet intéressant.
Nous comprenons que vous trouviez que ça ternit l'image de la ville, le fait que des SDF dorment dehors. Mais nous trouvons vraiment déplorables le fait d'installer exprès des dispositifs pour repousser des personnes, quelle que soit soit leurs problèmes.
Créer plus d'abris pour les loger seraient effectivement une situation optimale, nous espérons que cela se fera prochainement.
Merci de votre commentaire très intéressant,
Beaucoup de salutations de la France!
Alexane et Satine
Bonjour Alexane et Satine !
Nous sommes Michiel et Toon du Collège Prizma Campus à Izegem, en Belgique. Nous avons lu votre article, c’est un sujet très intéressant.
Honnêtement, nous ne savions pas qu’il y a des installations spéciales pour prévenir que les sans-abris puissent dormir sur les bancs...
Après avoir lu votre article, nous avons un peu cherché dans notre ville et nous avons trouvé quelques exemples d'anti-SDF. Presque tous les bancs près de la gare avaient des accoudoirs. Pourtant nous avons trouvé rien d’autre.
Nous trouvons que d’une part, c’est compréhensible qu’une ville fasse des choses pareilles. Les sans-abris qui se couchent dans les rues, ce n’est pas une belle vue et plutôt sombre. D’autre part, nous sommes d’accord avec…